L’agente de Westmount à Montréal Joëlle Bitar se targue de réaliser « plus de 100 ventes par année » et de faire partie du Temple de la renommée Re/Max.
Cette dernière a toutefois été visée depuis 2015 par pas moins de trois recours de l’OACIQ, dont le dernier s’est prolongé jusqu’à l’an dernier.
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Elle a été reconnue coupable de cinq chefs en 2018 et de tous les autres reproches en 2020. Elle a été condamnée à une amende de 17 500 $ en 2018. Et en novembre 2021, elle a écopé d’une autre amende de 4000 $ et de réprimandes.
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En 2016, la courtière s’était déjà retrouvée devant le Comité de discipline de la Chambre pour avoir abaissé sa commission de façon à ce qu’une offre plus basse soit préférée par des vendeurs à une autre offre plus haute.
Elle a plaidé coupable et reçu une amende de 1000 $.
Cette agente au passé trouble a par ailleurs été sanctionnée par le Comité de discipline de l’OACIQ pour avoir exploité des agences d’escortes en marge de ses activités immobilières. Elle a reçu une amende de 12 500 $ en 2015.
Hier, Mme Bitar nous a indiqué avoir bénéficié d’une absolution inconditionnelle par rapport aux accusations de proxénétisme, et avoir amélioré sa pratique depuis 2018.
(514) 384-2013 (Montréal)
