Extrait(s) :
Le monde de l’immobilier a connu des bouleversements sans précédent durant la pandémie de COVID-19. Cette période a eu — et a toujours — des impacts sur les comportements des vendeurs et des acheteurs. Tour d’horizon de l’évolution des mentalités en cette ère postpandémique.
La crise sanitaire a provoqué une panoplie de transformations dans le marché immobilier québécois, notamment en raison de l’adoption du télétravail (qui a incité des milliers d’employés à se relocaliser) et d’une baisse historique des taux d’intérêt. Nous avons donc constaté :
- Un exode des citadins vers les régions;
- Une explosion de la demande pour des maisons individuelles;
- Une augmentation considérable des prix des propriétés;
- Un important phénomène de surenchère;
- Une baisse des inscriptions immobilières;
- Une hausse des ventes réalisées sans inspection préachat;
- Un ralentissement de la construction de propriétés.
Parallèlement, les courtiers immobiliers et les courtiers hypothécaires ont dû s’adapter durant la pandémie et adopter plusieurs outils et solutions sécuritaires pour respecter les mesures sanitaires. Aujourd’hui, les rencontres et les visites virtuelles sont monnaie courante.
- Les intentions d’achat se maintiennent malgré le contexte économique;
- Les jeunes ménages demeurent actifs (environ la moitié prévoit acheter);
- La maison unifamiliale domine les intentions d’achat (81 %).